Livre de Job
21,24 les flancs chargés de graisse, la moelle de ses os encore fraîche. ( ) 21,25 Tel autre meurt, l’amertume dans l’âme, sans avoir goûté au bonheur. ( ) 21,26 L’un comme l’autre, dans la poussière ils se couchent, et la vermine les recouvre. ( ) 21,27 Certes, je connais vos pensées, les plans que vous forgez contre moi. ( ) 21,28 Quand vous dites : “Où est la maison du notable, où est la tente qu’habitent les méchants ?”, ( )
21,29 n’avez-vous pas questionné les voyageurs, ignorez-vous leurs témoignages ?
( )
21,30 Au jour du désastre, le méchant est épargné ; au jour de la fureur, il en réchappe. ( ) 21,31 Qui lui reproche en face sa conduite, et ce qu’il a commis, qui le lui fait payer ? ( ) 21,32 Lui, on l’escorte au cimetière et on veille sur son tertre. ( ) 21,33 Douces lui sont les mottes de la vallée, derrière lui tout un peuple défile, devant lui une foule innombrable. ( ) 21,34 Comment pouvez-vous m’offrir d’aussi vaines consolations ? De vos réponses il ne reste que tromperie. » ( )
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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 35
