Livre de Job
19,21 Ayez pitié de moi, ayez pitié de moi, vous du moins, mes amis, car la main de Dieu m’a frappé. ( ) 19,22 Pourquoi me poursuivre comme Dieu lui-même ? Ne serez-vous jamais rassasiés de ma chair ? ( ) 19,23 Ah, si seulement on écrivait mes paroles, si on les gravait sur une stèle ( ) 19,24 avec un ciseau de fer et du plomb, si on les sculptait dans le roc pour toujours ! ( ) 19,25 Mais je sais, moi, que mon rédempteur est vivant, que, le dernier, il se lèvera sur la poussière ; ( )

19,26 et quand bien même on m’arracherait la peau, de ma chair je verrai Dieu.


( )
19,27 Je le verrai, moi en personne, et si mes yeux le regardent, il ne sera plus un étranger. Mon cœur en défaille au-dedans de moi. ( ) 19,28 Lorsque vous dites : “Comment le poursuivre et trouver en lui prétexte à procès ?”, ( ) 19,29 craignez pour vous-mêmes le glaive, car la colère mérite châtiment par le glaive. Ainsi vous saurez qu’il y a une justice. » ( ) 20,1 Sofar de Naama prit la parole et dit : ( ) 20,2 « Eh bien ! Mon trouble m’incite à répliquer à cause de l’émotion que je ressens. ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 35