Livre de Job
17,13 Si j'espère, le Shéol est ma maison ; dans la ténèbre, j'étends mon matelas ! ( ) 17,14 Je crie à la fosse : « Toi, mon père ! » ; « Ma mère ! Ma sœur ! » à la putréfaction. ( ) 17,15 Où donc est mon espoir ? Mon espoir, qui l'aperçoit ? ( ) 17,16 Aux mains du Shéol il descendra, quand, ensemble, nous reposerons dans la poussière. ( ) 18,1 Bildad le Shouhi répond et dit : ( )

18,2 Jusqu'à quand mettrez-vous des triques aux mots ? Discernez, nous parlerons ensuite.


( )
18,3 Pourquoi sommes-nous considérés comme des bêtes contaminées à vos yeux ? ( ) 18,4 Il lacère son être en sa fureur ! Pour toi, la terre serait-elle abandonnée ? le roc bougerait-il de son lieu ? ( ) 18,5 La lumière du criminel vacille aussi, il ne fulgure pas, le brasier de son feu. ( ) 18,6 Dans sa tente, la lumière enténèbre ; sa lampe vacille devant lui. ( ) 18,7 Ses pas virils sont dans la détresse, et son conseil l'exclut. ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 35