Livre de Job
17,9 Le juste étreint sa route ; le pur-des-mains persévère dans la fermeté. ( ) 17,10 Pourtant, tous, retournez, venez donc ! Mais je ne trouve pas parmi vous de sage. ( ) 17,11 Mes jours, mes initiatives : passés ! Les héritages de mon cœur sont tranchés ! ( ) 17,12 Ils prennent la nuit pour le jour - « La lumière est proche ! » - face à la ténèbre ! ( ) 17,13 Si j'espère, le Shéol est ma maison ; dans la ténèbre, j'étends mon matelas ! ( )

17,14 Je crie à la fosse : « Toi, mon père ! » ; « Ma mère ! Ma sœur ! » à la putréfaction.


( )
17,15 Où donc est mon espoir ? Mon espoir, qui l'aperçoit ? ( ) 17,16 Aux mains du Shéol il descendra, quand, ensemble, nous reposerons dans la poussière. ( ) 18,1 Bildad le Shouhi répond et dit : ( ) 18,2 Jusqu'à quand mettrez-vous des triques aux mots ? Discernez, nous parlerons ensuite. ( ) 18,3 Pourquoi sommes-nous considérés comme des bêtes contaminées à vos yeux ? ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 35