Livre de Job
17,5 “On ne fait pas, disent-ils, des cadeaux aux amis, pour ensuite laisser ses fils dans la gêne.” ( ) 17,6 Me voici devenu la risée des gens, l’individu à qui l’on crache au visage. ( ) 17,7 Mes yeux s’obscurcissent de chagrin, je ne suis plus que l’ombre de moi-même. ( ) 17,8 Les hommes droits en restent stupéfaits, les bons voient en moi un méchant et moralisent. ( ) 17,9 Quel exemple pour le juste ! il s’encourage, et les gens honnêtes en sont ragaillardis. ( )

17,10 Mais non, venez tous, reprenez-vous donc ! vous verrez qu’aucun de vous n’est un sage. …


( )
17,11 Mes jours ont passé, mes plans ont été brisés ; mon cœur désire ( ) 17,12 la nuit quand c’est le jour, et quand il fait noir l’approche du jour. ( ) 17,13 Je n’ai plus à attendre ma maison chez les morts : déjà j’ai mis mon lit dans leurs ténèbres. ( ) 17,14 Je dis au tombeau : “Tu es mon père !” et à la vermine : “C’est toi ma mère et ma sœur !” ( ) 17,15 Alors, où est mon espérance, mon bonheur, voyez-vous quelque chose ? ( )



trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence:
Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 35