Livre de Job
17,4 Oui, tu as fermé leur cœur à la perspicacité. Aussi, que nul ne se lève ! ( ) 17,5 Il annonce : « Au partage, compagnons : » Mais les yeux de ses fils sont épuisés. ( ) 17,6 Il m'expose en fable aux peuples ; je suis un crachat sur une face. ( ) 17,7 Mon œil se ternit d'exaspération ; mes membres sont tous comme une ombre. ( ) 17,8 Les êtres équitables se désolent de cela ; l'innocent contre l'hypocrisie s'éveille. ( )

17,9 Le juste étreint sa route ; le pur-des-mains persévère dans la fermeté.


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17,10 Pourtant, tous, retournez, venez donc ! Mais je ne trouve pas parmi vous de sage. ( ) 17,11 Mes jours, mes initiatives : passés ! Les héritages de mon cœur sont tranchés ! ( ) 17,12 Ils prennent la nuit pour le jour - « La lumière est proche ! » - face à la ténèbre ! ( ) 17,13 Si j'espère, le Shéol est ma maison ; dans la ténèbre, j'étends mon matelas ! ( ) 17,14 Je crie à la fosse : « Toi, mon père ! » ; « Ma mère ! Ma sœur ! » à la putréfaction. ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 35