Livre de Job
17,1 Mon souffle abîmé, mes jours éteints, à moi les sépultures ! ( ) 17,2 N'est-ce pas, les sarcasmes avec moi ? Mon œil nuite dans leurs amertumes. ( ) 17,3 Mets-le donc et garantis-moi toi-même : qui d'autre me topera la main ? ( ) 17,4 Oui, tu as fermé leur cœur à la perspicacité. Aussi, que nul ne se lève ! ( ) 17,5 Il annonce : « Au partage, compagnons : » Mais les yeux de ses fils sont épuisés. ( )

17,6 Il m'expose en fable aux peuples ; je suis un crachat sur une face.


( )
17,7 Mon œil se ternit d'exaspération ; mes membres sont tous comme une ombre. ( ) 17,8 Les êtres équitables se désolent de cela ; l'innocent contre l'hypocrisie s'éveille. ( ) 17,9 Le juste étreint sa route ; le pur-des-mains persévère dans la fermeté. ( ) 17,10 Pourtant, tous, retournez, venez donc ! Mais je ne trouve pas parmi vous de sage. ( ) 17,11 Mes jours, mes initiatives : passés ! Les héritages de mon cœur sont tranchés ! ( )



trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence:
Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 35