Livre de Job
16,20 Mes amis se moquent de moi, c’est vers Dieu que pleurent mes yeux. ( ) 16,21 Ah, si Dieu pouvait être arbitre entre l’homme et lui-même, comme entre un fils d’homme et son semblable ! ( ) 16,22 Car elles sont comptées, les années à venir, et je vais prendre un chemin sans retour. ( ) 17,1 Mon souffle s’épuise, mes jours s’éteignent ; pour moi le cimetière ! ( ) 17,2 Ne suis-je pas objet de raillerie, l’œil tenu éveillé par leurs provocations ? ( )
17,3 Dépose donc ma caution près de toi : qui d’autre accepterait un gage de ma main ?
( )
17,4 Puisque tu as fermé leur cœur à la raison, tu ne vas pas les faire triompher ! ( ) 17,5 “Tel homme invite ses amis à un partage, alors que se consument les yeux de ses enfants.” ( ) 17,6 Voilà le proverbe que les gens m’appliquent, je suis celui à qui l’on crache au visage. ( ) 17,7 De chagrin mon œil s’éteint, tous mes membres sont comme l’ombre. ( ) 17,8 Les hommes droits en sont stupéfaits et l’innocent contre l’impie s’indigne. ( )
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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 35