Livre de Job
16,16 Mon visage est rougi par les pleurs, sur mes paupières s’étend l’ombre de mort. ( ) 16,17 Pourtant, nulle violence en mes mains et ma prière est pure ! ( ) 16,18 Terre, ne couvre pas mon sang, et que rien n’arrête mes cris ! ( ) 16,19 Même maintenant, j’ai dans le ciel mon témoin, dans les hauteurs mon répondant. ( ) 16,20 Mes amis se moquent de moi, c’est vers Dieu que pleurent mes yeux. ( )

16,21 Ah, si Dieu pouvait être arbitre entre l’homme et lui-même, comme entre un fils d’homme et son semblable !


( )
16,22 Car elles sont comptées, les années à venir, et je vais prendre un chemin sans retour. ( ) 17,1 Mon souffle s’épuise, mes jours s’éteignent ; pour moi le cimetière ! ( ) 17,2 Ne suis-je pas objet de raillerie, l’œil tenu éveillé par leurs provocations ? ( ) 17,3 Dépose donc ma caution près de toi : qui d’autre accepterait un gage de ma main ? ( ) 17,4 Puisque tu as fermé leur cœur à la raison, tu ne vas pas les faire triompher ! ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 35