Livre de Job
16,14 Il ouvre en moi brèche sur brèche, fonce sur moi tel un guerrier. ( ) 16,15 J'ai cousu un sac sur ma peau, jeté mon front dans la poussière. ( ) 16,16 Mon visage est rougi par les larmes et l'ombre couvre mes paupières. ( ) 16,17 Pourtant, point de violence dans mes mains, et ma prière est pure. ( ) 16,18 O terre, ne couvre point mon sang, et que mon cri monte sans arrêt. ( )

16,19 Dès maintenant, j'ai dans les cieux un témoin, là-haut se tient mon défenseur.


( )
16,20 Interprète de mes pensées auprès de Dieu, devant qui coulent mes larmes, ( ) 16,21 qu'il plaide la cause d'un homme aux prises avec Dieu, comme un mortel défend son semblable. ( ) 16,22 Car mes années de vie sont comptées, et je m'en vais par le chemin sans retour. ( ) 17,1 Mon souffle en moi s'épuise et les fossoyeurs pour moi s'assemblent. ( ) 17,2 Je n'ai pour compagnons que des railleurs, dont la dureté obsède mes veilles. ( )



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