Livre de Job
14,14 – Mais l’homme qui meurt va-t-il revivre ? Tous les jours de mon service, j’attendrais, jusqu’à ce que vienne ma relève. ( ) 14,15 Tu m’appellerais et je te répondrais, tu languirais après l’œuvre de tes mains. ( ) 14,16 Alors que maintenant tu dénombres mes pas, tu n’épierais plus mon péché ; ( ) 14,17 scellée dans un coffret serait ma transgression, et tu blanchirais ma faute. ( ) 14,18 Mais la montagne tombe et s’écroule, le rocher bouge de sa place, ( )
14,19 l’eau creuse les pierres, l’averse emporte la poussière du sol : ainsi, l’espoir de l’homme, tu l’anéantis.
( )
14,20 Tu terrasses l’homme pour toujours et il s’en va ; tu le défigures, puis tu le renvoies. ( ) 14,21 Ses fils sont-ils honorés, il n’en sait rien ; sont-ils méprisés, il l’ignore. ( ) 14,22 Sa chair ne ressent que ses propres souffrances, son âme ne gémit que sur lui-même. » ( ) 15,1 Élifaz de Témane prit la parole et dit : ( ) 15,2 « Le sage répond-il par des raisons en l’air, gonfle-t-il ses poumons de vent, ( )
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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 34