Livre de Job
14,9 Mais il hume les eaux, refleurit, et fais moisson comme un plant. ( ) 14,10 Un brave meurt, il faiblit ; l'humain agonise : où est-il ? ( ) 14,11 Les eaux de la mer s'épuisent ; le fleuve tarit, il est sec. ( ) 14,12 L'homme se couche et ne se relève pas. Jusqu'aux non-ciels ils ne se ranimeront pas ; ils ne s'éveilleront pas de leur sommeil. ( ) 14,13 Qui donnera que tu me recèles au Shéol, que tu me voiles jusqu'au reflux de ta fureur ? Fixe pour moi une loi, un délai ; souviens-toi de moi ! ( )

14,14 Si le brave meurt, revit-il ? Tous les jours de ma corvée, j'attends l'arrivée de ma mutation.


( )
14,15 Tu crieras, et je te répondrai moi-même ; tu languiras après l'œuvre de tes mains. ( ) 14,16 Mais maintenant tu comptes mes pas ; tu n'épargnes pas mes fautes. ( ) 14,17 Ma carence scellée dans une bourse, tu plâtres mon tort. ( ) 14,18 Et pourtant une montagne tombe, elle s'érode ; le roc est muté loin de son lieu. ( ) 14,19 Les eaux corrodent les pierres, leur flux inonde la poussière de la terre ; mais l'espoir de l'homme, tu le fais périr. ( )



trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence:
Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 34