Livre de Job
9,19 Recourir à la force ? Il est la puissance même. Faire appel au droit ? Mais qui l’assignera ? ( ) 9,20 Même si je suis juste, ma bouche me condamne ; innocent, elle me déclare pervers. ( ) 9,21 Suis-je un homme intègre ? Je ne sais plus moi-même. Vivre me répugne. ( ) 9,22 C’est tout un, je l’ai bien dit : il extermine pareillement l’homme intègre et le criminel. ( ) 9,23 Si un fléau répand soudain la mort, lui se moque de la détresse des innocents. ( )

9,24 Un pays est-il livré aux mains du criminel, il met un voile sur la face de ses juges. Si ce n’est lui, qui est-ce donc ?


( )
9,25 Mes jours, plus rapides qu’un coureur, ont fui sans voir le bonheur. ( ) 9,26 Ils ont glissé comme barques de jonc, comme l’aigle qui fond sur sa proie. ( ) 9,27 Si je me dis : “Oublie ta plainte, déride ton visage, montre ta joie”, ( ) 9,28 je redoute tous mes tourments, je sais que tu ne m’acquitteras pas. ( ) 9,29 Si je suis coupable, à quoi bon me fatiguer en vain ? ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 34