Livre de Job
8,11 “Le jonc pousse-t-il hors des marais ? Privé d’eau, le roseau peut-il croître ? ( ) 8,12 Encore en sa fleur et sans qu’on l’ait cueilli, avant toute herbe il se dessèche.” ( ) 8,13 Tel est le sort de ceux qui oublient Dieu, ainsi périt l’espoir de l’impie. ( ) 8,14 Son assurance n’est qu’un fil, sa confiance, une toile d’araignée. ( ) 8,15 S’appuie-t-il sur sa maison, elle ne tient pas, s’y cramponne-t-il, elle ne résiste pas. ( )

8,16 Plein de sève au soleil, il étend ses jeunes pousses par-dessus son jardin,


( )
8,17 ses racines se nouent dans un amas de pierres, il explore les creux des rochers. ( ) 8,18 Mais si on l’arrache de son lieu, celui-ci le renie : “Je ne t’ai jamais vu !” ( ) 8,19 Et voilà que son destin se corrompt, tandis que du sol quelqu’un d’autre va germer. ( ) 8,20 Vois : Dieu ne rejette pas l’homme intègre, ni ne prête main-forte aux malfaiteurs. ( ) 8,21 De rire encore il emplira ta bouche, et tes lèvres d’ovations. ( )



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