Livre de Job
6,5 L’âne sauvage va-t-il braire devant l’herbe tendre, le bœuf meugler auprès de son fourrage ? ( ) 6,6 Un mets fade se mange-t-il sans sel, le blanc de l’œuf a-t-il quelque saveur ? ( ) 6,7 Je me refuse à y toucher ; ce n’est que nourriture écœurante. ( ) 6,8 Ah, si seulement se réalisait ma requête, si Dieu répondait à mon attente, ( ) 6,9 si Dieu consentait à me broyer, s’il étendait sa main et me retranchait ! ( )

6,10 J’aurais du moins la consolation – sursaut de joie dans une torture insoutenable – de n’avoir pas renié les décrets du Dieu Saint.


( )
6,11 Quelle est ma force pour que j’espère ? Qu’y a-t-il au terme pour que je prolonge ma vie ? ( ) 6,12 Ma force est-elle celle du roc, ma chair est-elle de bronze ? ( ) 6,13 Ne suis-je pas sans appui, et toute ressource ne m’a-t-elle pas quitté ? ( ) 6,14 À l’homme découragé devrait aller la pitié de son prochain, même s’il rejette la crainte du Puissant. ( ) 6,15 Mes frères, eux, ont trahi comme un torrent, comme le lit des torrents passagers : ( )



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