Livre de Job
4,15 un souffle a glissé sur ma face, il a hérissé les poils de ma chair. ( ) 4,16 Quelqu’un se tenait là, inconnu de moi, une forme devant mes yeux. Un silence… puis une voix s’est fait entendre : ( ) 4,17 “Le mortel aurait-il raison contre Dieu, l’homme serait-il pur devant son Auteur ? ( ) 4,18 Si Dieu ne fait pas même confiance à ses serviteurs, et qu’il persuade ses anges d’égarement, ( ) 4,19 que dire alors des habitants de ces maisons d’argile, fondées elles-mêmes sur la poussière ! On les écrase comme une teigne ; ( )

4,20 en l’espace d’un jour, ils sont pulvérisés ; sans qu’on y prenne garde, à jamais ils périssent.


( )
4,21 Leurs attaches ne sont-elles pas rompues ? Ils meurent, faute de sagesse.” ( ) 5,1 Fais donc appel ! Y a-t-il quelqu’un pour te répondre ? Parmi les saints, auquel pourras-tu t’adresser ? ( ) 5,2 En vérité, la hargne tue l’insensé, la jalousie fait mourir le sot. ( ) 5,3 J’ai vu, moi, l’insensé prendre racine, mais aussitôt j’ai maudit sa demeure : ( ) 5,4 “Que ses fils soient écartés du salut, accablés au tribunal sans que personne les délivre ! ( )



trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence:
Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 34