Livre de Job
4,13 Lorsque divaguent les visions de la nuit, quand une torpeur écrase les humains, ( ) 4,14 un frisson d'épouvante me surprit et fit cliqueter tous mes os: ( ) 4,15 un souffle passait sur ma face, hérissait le poil de ma chair. ( ) 4,16 Il se tenait debout, je ne le reconnus pas. Le spectre restait devant mes yeux. Un silence, puis j'entendis une voix: ( ) 4,17 " Le mortel serait-il plus juste que Dieu, l'homme serait-il plus pur que son auteur ? ( )
4,18 Vois: ses serviteurs, il ne leur fait pas confiance, en ses anges même il trouve de la folie.
( )
4,19 Et les habitants des maisons d'argile, alors, ceux qui se fondent sur la poussière! On les écrase comme une teigne. ( ) 4,20 D'un matin à un soir ils seront broyés. Sans qu'on y prenne garde, ils périront à jamais. ( ) 4,21 Les cordes de leurs tentes ne sont-elles pas déjà arrachées ? Ils mourront, faute de sagesse. " ( ) 5,1 Fais donc appel! Existe-t-il quelqu'un pour te répondre ? Auquel des saints t'en prendras-tu ? ( ) 5,2 Oui, l'imbécile, c'est la rogne qui l'égorge, et le naïf, la jalousie le tue. ( )
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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 34