Livre de Job
4,8 Comme je l'ai vu, les laboureurs de fraude et les semeurs de souffrance les moissonnent. ( ) 4,9 Par l'haleine d'Eloha, ils périssent ; par le souffle de sa narine ils sont achevés. ( ) 4,10 Rugissement du lion, voix du vieux félin ! Les dents des lionceaux sont fracassées ! ( ) 4,11 Le lion périt sans proie ; les fils de félidés se dispersent. ( ) 4,12 Vers moi, une parole s'est dérobée ; mon oreille l'a vite saisie. ( )

4,13 Aux cauchemars des songes de la nuit, quand la torpeur tombe sur les hommes,


( )
4,14 un tremblement m'a saisi, une secousse ; la plupart de mes os en tremblaient. ( ) 4,15 Un souffle passait sur mes faces ; il hérissait le poil de ma chair. ( ) 4,16 Il se dressait, mais je ne reconnaissais pas son aspect, l'image contre mes yeux. Silence… Puis j'ai entendu une voix : ( ) 4,17 « L'homme est-il juste contre Eloha ? Ou, plus que son auteur, le brave serait-il pur ? ( ) 4,18 Certes, il ne se fie pas à ses serviteurs ; même en ses messagers il met le désaveu. ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 34