Livre de Job
4,4 Tes paroles redressaient ceux qui perdent pied, tu affermissais les genoux qui ploient. ( ) 4,5 Que maintenant cela t'arrive, c'est toi qui fléchis. Te voici atteint, c'est l'affolement. ( ) 4,6 Ta piété ne tenait-elle qu'à ton bien-être, tes espérances fondaient-elles seules ta bonne conduite ? ( ) 4,7 Rappelle-toi: quel innocent a jamais péri, où vit-on des hommes droits disparaître ? ( ) 4,8 Je l'ai bien vu: les laboureurs de gâchis et les semeurs de misère en font eux-mêmes la moisson. ( )

4,9 Sous l'haleine de Dieu ils périssent, au souffle de sa narine ils se consument.


( )
4,10 Rugissement de lion, feulement de tigre; les dents des lionceaux mordent à vide. ( ) 4,11 Le guépard périt faute de proie, les petits de la lionne se débandent. ( ) 4,12 Une parole, furtivement, m'est venue, mon oreille en a saisi le murmure. ( ) 4,13 Lorsque divaguent les visions de la nuit, quand une torpeur écrase les humains, ( ) 4,14 un frisson d'épouvante me surprit et fit cliqueter tous mes os: ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 34