Livre de Job
3,10 Car cette nuit n'a point clos des portes du ventre de ma mère : elle n'a point détourné de mes yeux la douleur. ( ) 3,11 Pourquoi ne suis-je pas mort dans les entrailles qui m'ont enfanté ? Pourquoi ne suis-je pas mort, aussitôt que j'en suis sorti ? ( ) 3,12 Pourquoi des genoux m'ont-ils recueilli ? Pourquoi ai-je sucé des mamelles ? ( ) 3,13 Car, couché, je serais maintenant tranquille ., endormi, je me reposerais, ( ) 3,14 Avec les rois arbitres de la terre, qui s'enorgueillissaient de leurs épées ., ( )

3,15 Ou avec les grands qui possédaient beaucoup d'or et comblaient d'argent leurs demeures .,


( )
3,16 Ou comme un fœtus avorté ., ou comme les enfants nouveau-nés qui n'ont point vu la lumière. ( ) 3,17 Dans ce lieu-là les impies ont consumé le feu de leur fureur ., et ceux dont le corps a été brisé de fatigue ont trouvé le repos. ( ) 3,18 Et, avec eux, la foule qui n'a jamais entendu la voix du collecteur. ( ) 3,19 Et le petit et le grand ., et le serviteur qui a redouté son maître. ( ) 3,20 Pourquoi le jour a-t-il été donné à ceux qui sont dans l'amertume ., et la vie, aux âmes pleines de douleurs ? ( )



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