Second Livre des Macchabées
3,34 Toi qui as été flagellé par le Ciel, proclame devant tous le pouvoir grandiose de Dieu. » Après ces paroles, ils disparurent. ( ) 3,35 Héliodore présenta un sacrifice au Seigneur et adressa de ferventes prières à Celui qui lui avait conservé la vie. Puis il prit congé d’Onias et revint avec son armée auprès du roi. ( ) 3,36 À tous, il rendait témoignage des œuvres du Dieu très grand, œuvres qu’il avait contemplées de ses yeux. ( ) 3,37 Lorsque le roi lui demanda quel genre d’homme il conviendrait d’envoyer une fois encore à Jérusalem, Héliodore répondit : ( ) 3,38 « Si tu as quelque ennemi ou conspirateur contre les affaires publiques, envoie-le là-bas, et il te reviendra roué de coups, si du moins il en réchappe, car il y a vraiment une force divine autour du Lieu saint. ( )

3,39 En effet, Celui qui a sa demeure dans le ciel veille lui-même sur ce lieu et le protège : ceux qui s’en approchent avec des intentions mauvaises, il les frappe et les fait périr. »


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3,40 C’est ainsi que se déroulèrent les événements concernant Héliodore et la préservation du trésor. ( ) 4,1 Simon, dont il a déjà été question, était devenu celui qui dénonçait les richesses de sa patrie. Il continuait à calomnier Onias, en prétendant que c’était lui qui avait assailli Héliodore et provoqué ce malheur. ( ) 4,2 Il osait présenter le bienfaiteur de la ville, le protecteur des gens de sa nation, l’ardent défenseur des lois, comme un conspirateur contre les affaires publiques. ( ) 4,3 Cette haine alla si loin que même des meurtres furent commis par l’un des partisans de Simon. ( ) 4,4 Considérant l’importance de cette rivalité, et constatant qu’Apollonios, fils de Ménesthée, gouverneur militaire de Cœlé-Syrie et de Phénicie, ne faisait qu’accroître la malveillance de Simon, ( )



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