Premier Livre des Macchabées
10,70 « Toi seul tu t'es élevé contre nous et je suis insulté et méprisé à cause de toi. Pourquoi te renforces-tu contre nous dans les montagnes ? ( ) 10,71 Maintenant, si tu es sûr de ton armée, descends vers nous dans la plaine et là, mesurons-nous, l'un l'autre, j'ai avec moi l'armée des villes. ( ) 10,72 Questionne et apprends qui je suis et qui sont ceux qui m'aident. Ils disent que vous n'avez pas le pouvoir de mettre un pied en face de nous. Oui, plusieurs fois déjà tes pères furent battus en leur terre. ( ) 10,73 Maintenant tu ne pourras pas tenir en face de la cavalerie et de cette armée dans la plaine, où il n'est ni caillasse, ni rocher, ni lieu où fuir. » ( ) 10,74 Quand Ionatân entend les paroles d'Apollonios, son esprit est tout remué; il choisit dix mille hommes et sort de Ieroushalaîm. Shim‘ôn son frère vient à sa rencontre et à son aide. ( )

10,75 Il campe en face de Iapho. Les hommes de la ville ferment les portes en face de lui car Apollonios a une garnison à Iapho. Ils guerroient contre elle,


( )
10,76 mais les hommes de la ville ont peur et ils ouvrent; Ionatân est maître de Iapho. ( ) 10,77 Quand Apollonios apprend cette parole, il équipe trois mille cavaliers et une armée nombreuse. Il va vers Ashdod comme s'il traversait le pays, tandis qu'en même temps il s'enfonce dans la plaine. Oui, il a une foule de cavaliers en qui il se fie. ( ) 10,78 Ionatân les poursuit jusqu'à Ashdod et les deux camps commencent à guerroyer. ( ) 10,79 Apollonios avait laissé derrière eux mille cavaliers en un lieu secret. ( ) 10,80 Mais Ionatân sait qu'il y a une embuscade derrière lui. Ils cernent son camp et lancent des flèches sur le peuple du matin jusqu'au soir. ( )



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