Second Livre des Chroniques
32,11 Ézékias n’est-il pas en train de vous duper, pour vous faire mourir de faim et de soif, lorsqu’il dit : “Le Seigneur notre Dieu nous délivrera de la main du roi d’Assour” ? ( ) 32,12 N’est-ce pas lui, Ézékias, qui a supprimé ses lieux sacrés et ses autels, en disant aux gens de Juda et de Jérusalem ces mots : “C’est devant un seul autel que vous vous prosternerez et que vous brûlerez de l’encens” ? ( ) 32,13 Ne savez-vous pas ce que nous avons fait, moi et mes pères, à tous les peuples des autres pays ? Les dieux des nations ont-ils été capables de délivrer leur pays de ma main ? ( ) 32,14 De tous les dieux de ces nations que mes pères ont voués à l’anathème, quel est celui qui a pu délivrer son peuple de ma main, pour que votre dieu puisse vous délivrer de ma main ? ( ) 32,15 Et maintenant, qu’Ézékias ne vous trompe pas et ne vous dupe pas ! Ne vous fiez pas à lui, car aucun dieu d’aucune nation ni d’aucun royaume ne peut délivrer son peuple de ma main, ni de la main de mes pères ! À plus forte raison, vos dieux ne vous délivreront pas de ma main ! » ( )

32,16 Les serviteurs de Sennakérib parlèrent encore contre le Seigneur Dieu et contre Ézékias, son serviteur.


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32,17 Sennakérib écrivit également des lettres pour insulter le Seigneur, Dieu d’Israël. Voilà ce qu’il disait contre lui : « De même que les dieux des nations des pays n’ont pu délivrer leur peuple de ma main, de même le dieu d’Ézékias ne délivrera pas son peuple de ma main. » ( ) 32,18 Les serviteurs de Sennakérib crièrent cela d’une voix forte, en judéen, au peuple de Jérusalem qui était sur le rempart, pour lui faire peur et l’épouvanter, afin de s’emparer de la ville. ( ) 32,19 Ils parlaient du Dieu de Jérusalem comme des dieux des autres peuples de la terre, qui sont ouvrage de mains humaines. ( ) 32,20 Dans cette situation, le roi Ézékias et le prophète Isaïe, fils d’Amots, se mirent en prière et supplièrent le ciel. ( ) 32,21 Alors le Seigneur envoya un ange qui anéantit tous les vaillants guerriers, les chefs et les officiers, dans le camp du roi d’Assour. Celui-ci retourna dans son pays, la honte au visage. Il entra dans la maison de son dieu, et quelques-uns de ses propres enfants le mirent à mort par l’épée. ( )



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