Lecture d'un commentaire (7328)


Mt 12,22

Commentaire: Tandis que le peuple moins instruit ne cessait d'adles prodiges du Sauveur, ceux-ci s'appliquaient toujours à les nier, ou, lorsqu'ils ne le pouvaient, à les révoquer du moins en doute, à les dénaturer par des interprétations malveillantes, comme s'ils étaient l'oeuvre non pas de la divinité, mais de l'esprit immonde, de Beelzébub qui passait pour le dieu d'Accaron. C'est ce qu'ils firent dans cette circonstance. «Les pharisiens entendant cela dirent: Cet homme ne chasse les démons que par Beelzébub, prince des démons».


Source: Raban (Peronne-Vivès 1868)