Lecture d'un commentaire (13696)


Lc 14,1

Commentaire: Notre-Seigneur confond ainsi les pharisiens qui épiaient sa conduite, et condamne à la fois leur avarice, car c'était par un sentiment d'avarice qu'ils délivraient leurs animaux en péril le jour du sabbat. À combien plus juste titre, le Christ devait-il délivrer l'homme, mille fois supérieur à l'animal sans raison?


Source: Bede (Peronne-Vivès 1868)