Apocalypse de Jean
19,10 Alors je me suis jeté à ses pieds pour l’adorer, mais il m’a dit : “Non ! Je sers comme toi et comme tes frères qui transmettent les déclarations de Jésus. C’est Dieu que tu dois adorer.” — Les déclarations de Jésus et l’esprit de prophétie sont la même chose. 5. LE TRIOMPHE DU VERBE DE DIEU ( ) 19,11 Alors j’ai vu le ciel ouvert. J’ai vu un cheval blanc et celui qui le monte ; on l’appelle le Fidèle et le Vrai. Il juge, il combat, selon la droiture. ( ) 19,12 Ses yeux sont une flamme de feu et l’on voit sur sa tête de nombreuses couronnes. Nul autre que lui ne connaît le Nom écrit sur lui. ( ) 19,13 Il s’enveloppe d’un manteau trempé de sang et on l’appelle le Verbe de Dieu. ( ) 19,14 Les armées du ciel le suivent, équipées de chevaux blancs, vêtues de lin fin net et blanc. ( )

19,15 Une épée aiguisée sort de sa bouche, pour en frapper les nations. C’est lui qui doit les mener avec une baguette de fer, et c’est lui encore qui foule au pressoir le vin de la fureur et de la colère de Dieu, Maître de l’univers.


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19,16 Sur son manteau et sur sa cuisse, un titre est inscrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs. ( ) 19,17 Je vis alors un ange debout sur le soleil, appelant à grands cris tous les oiseaux qui volaient dans les hauteurs du ciel : “Tous ici, rassemblez-vous pour le grand banquet de Dieu ! ( ) 19,18 Vous mangerez la chair des rois, la chair des généraux, la chair des héros, des chevaux et des cavaliers. Libres ou esclaves, petits et grands, vous les mangerez tous.” ( ) 19,19 Je vis la bête avec les rois de la terre et leurs armées, réunis pour combattre celui qui monte le cheval et son armée. ( ) 19,20 La bête fut prise, et avec elle le faux prophète qui faisait des prodiges à son service : il a égaré grâce à ses prodiges ceux qui ont reçu la marque de la bête et adorent son image. Les deux furent jetés vivants dans l’étang de feu où brûle le soufre. ( )



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