Apocalypse de Jean
9,16 Le nombre des combattants de leur cavalerie s’élève à vingt mille fois dix mille. C’est le nombre que j’ai entendu. ( ) 9,17 Voilà comment j’ai vu les chevaux et ceux qui les montent. Ils ont des cuirasses couleur de feu avec du violet et du jaune. Les chevaux ont une tête semblable à celle d’un lion et leur bouche projette du feu, de la fumée et du soufre. ( ) 9,18 Un tiers de l’humanité a été exterminé par ces trois fléaux : le feu, la fumée et le soufre qui sortent de leur bouche. ( ) 9,19 les chevaux sont redoutables à cause de leur tête, mais aussi à cause de leurs queues. Ces queues sont comme des serpents avec une tête au bout, et c’est cette tête qui est redoutable. ( ) 9,20 Les survivants, ceux qui n’étaient pas morts de ces fléaux, ne se sont pas détournés des œuvres de leurs mains. Ils ont continué d’adorer les démons, avec ces idoles d’or, d’argent, de bronze, de fer et de bois, qui sont incapables de voir ou d’entendre ou de marcher. ( )
9,21 Et ils ne se sont pas repentis de leurs meurtres, de leurs sorcelleries, de leur débauche et de leurs vols.
2031 Bible des peuples sur verset 2018-11-04: Une classification des grandes formes du mal : d’abord l’idolâtrie, avec cette nuance particulière : ils n’ont pas renoncé aux œuvres de leurs mains. Ce qui fait de notre siècle le plus idolâtre de tous les temps : le vandalisme même n’aurait-il pas quelques racines saines ? Ensuite viennent le crime, la magie, la licence sexuelle et le vol. À la fin du livre, en 22.15 on les retrouvera sous une forme assez semblable, mais le vol sera remplacé par le mensonge que Jean dénonce très particulièrement dans sa première lettre et dans l’Apocalypse.
( )10,1 Je vis alors un autre ange formidable qui descendait du ciel. D’un nuage il s’était fait son manteau, un arc-en-ciel entourait sa tête, son visage était comme le soleil, et ses pieds, comme des colonnes de feu. ( ) 10,2 Il tenait à la main un petit livre ouvert. Il posa son pied droit sur la mer, son pied gauche sur le continent, ( ) 10,3 et il poussa un cri terrible, un vrai rugissement de lion. À ce cri les sept tonnerres firent entendre leurs voix. ( ) 10,4 Je voulus mettre par écrit le message des sept tonnerres, mais une voix venue du ciel me dit : “Garde secret le message des sept tonnerres, n’écris rien.” ( ) 10,5 L’ange que je voyais planté sur la mer et sur le continent leva alors sa main droite vers le ciel ( )
trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence:
Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 44
