Lettre aux Hébreux de Paul
11,19 Mais il pensa que Dieu était capable même de ressusciter les morts, et il retrouva ce fils, ce qui avait un sens pour l’avenir. ( ) 11,20 La foi dans l’avenir était là lorsque Isaac bénit Jacob et Ésaü. ( ) 11,21 La foi était encore là lorsque Jacob mourant bénit séparément les fils de Joseph ; on dit qu’il s’appuya sur son bâton pour adorer. ( ) 11,22 La foi était là lorsque Joseph annonça aux enfants d’Israël leur sortie d’Égypte et donna des ordres pour ses propres ossements. ( ) 11,23 À la naissance de Moïse, c’est la foi de ses parents qui leur fit cacher le bébé durant trois mois : ils virent que l’enfant était beau, et ils ne craignirent pas l’ordre du roi. ( )
11,24 C’est la foi encore lorsque Moïse devenu grand refuse de passer pour un fils de la fille du Pharaon,
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11,25 et il préfère souffrir avec le peuple de Dieu plutôt que de rester avec la joie bien courte du péché. ( ) 11,26 Car il sait qu’il y aura une récompense, et il comprend que l’humiliation avec le Christ a plus de valeur que les richesses de l’Égypte. ( ) 11,27 C’est la foi encore lorsqu’il quitte l’Égypte. Il ne craint pas la colère du roi car il a les yeux fixés sur l’autre Colère, encore invisible. ( ) 11,28 C’est la foi lorsqu’il sacrifie la Pâque et fait l’aspersion du sang pour empêcher l’Exterminateur de toucher à leurs premiers-nés. ( ) 11,29 C’est la foi lorsqu’ils traversent la Mer Rouge comme un terrain sec, alors que les Égyptiens se noient en essayant d’y passer. ( )
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