Livre du Lévitique
22,12 La fille d’un prêtre, mariée avec un étranger, ne pourra manger ce qui a été prélevé sur les offrandes saintes. ( ) 22,13 Si la fille d’un prêtre est veuve ou répudiée sans enfants, et qu’elle retourne dans la maison de son père comme elle y était dans sa jeunesse, elle pourra de nouveau manger de la nourriture de son père. Mais aucun étranger n’en mangera. ( ) 22,14 Si un homme mange par erreur une offrande sainte, il rendra au prêtre la valeur de cette offrande et y ajoutera un cinquième. ( ) 22,15 Les prêtres ne profaneront pas les saintes offrandes des Israélites, la part qui a été prélevée en l’honneur de Yahvé. ( ) 22,16 Les prêtres leur feraient encourir une faute s’ils les laissaient manger les offrandes saintes : je suis Yahvé qui les sanctifie.” ( )
22,17 Yahvé dit à Moïse :
( )
22,18 “Voici ce que tu diras à Aaron et à ses fils, ainsi qu’à tous les Israélites : Lorsqu’un homme de la maison d’Israël, ou un étranger habitant en Israël, présente son holocauste pour l’accomplissement d’un vœu ou comme don volontaire à Yahvé, ( ) 22,19 son sacrifice n’est agréable que si la victime est un mâle sans défaut, qu’il s’agisse de bœufs, de moutons ou de chèvres. ( ) 22,20 Vous n’offrirez aucune bête ayant un défaut : elle ne serait pas agréable à Yahvé. ( ) 22,21 Quand on offre à Yahvé du gros ou du petit bétail, que ce soit un sacrifice de communion, ou pour s’acquitter d’un vœu ou comme offrande volontaire, seule une victime sans défaut est agréable à Yahvé ; elle ne doit avoir aucun défaut. ( ) 22,22 Vous n’offrirez pas à Yahvé, vous ne ferez pas d’holocauste sur l’autel de Yahvé avec un animal aveugle, estropié ou mutilé ; avec un animal qui a un ulcère, la gale ou une plaie. ( )
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