Seconde épître aux Corinthiens de Paul
4,17 Il n’y a pas de comparaison entre ces petites épreuves passagères et le poids formidable de la gloire divine qu’elles nous préparent. ( ) 4,18 Aussi ne faisons-nous pas attention à ce qui se voit mais à ce qui ne se voit pas ; les choses visibles n’ont qu’un temps mais les invisibles sont pour toujours. ( ) 5,1 Nous le savons, si notre maison terrestre, il faudrait dire notre tente, vient à se démonter, Dieu nous réserve une habitation dans le ciel, une maison qui n’est pas faite de main d’homme et qui est pour toujours. ( ) 5,2 Mais cela même fait naître en nous un désir insatisfait, car nous voudrions bien que notre demeure céleste vienne recouvrir l’actuelle. ( ) 5,3 (En supposant que nous ayons encore celle-ci et ne soyons pas sans rien.) ( Ph 1,23 , )

5,4 Oui, tant que nous sommes sous notre tente, c’est pour nous un poids et une angoisse : nous ne voudrions pas qu’on nous en dépouille mais que l’autre vienne par-dessus et que la vie vienne absorber ce qui est mortel.


( )
5,5 Et c’est Dieu qui nous a mis dans cette situation, lui qui nous a donné l’Esprit comme un premier acompte. ( ) 5,6 Donc, quoi qu’il arrive, nous allons sans peur, sachant que vivre en ce corps, c’est être loin du Seigneur. ( Rm 8,35 , ) 5,7 C’est vivre avec la foi et non pas la vision. ( ) 5,8 Aussi allons-nous jusqu’à penser qu’il serait meilleur de sortir de ce corps pour aller vivre auprès du Seigneur. ( ) 5,9 En fait, ce qui nous importe, c’est de lui plaire, que nous restions ici ou que nous partions. ( )



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