Première epître aux Corinthiens de Paul
14,22 Donc le parler en langues est un signe, non pour ceux qui croient, mais pour les non-croyants, alors que la prophétie est pour ceux qui croient, et non pour les incroyants. ( ) 14,23 Supposez pourtant que des débutants ou des incroyants arrivent quand l’Église entière est rassemblée, et que tous parlent en langues : que vont-ils dire ? C’est du délire ! ( ) 14,24 Mais supposez que vous êtes tous en train de prophétiser, et voilà qu’arrive un débutant ou un incroyant. Tous aussitôt l’interpellent et lui disent ses vérités, ( ) 14,25 et lui, voyant découverts les secrets de sa conscience, il tombe le visage contre terre, il adore Dieu et il reconnaît : Dieu est réellement au milieu de vous ! ( ) 14,26 Quelle est la conclusion, frères ? Toutes les fois que vous vous réunissez, chacun peut intervenir avec un psaume, un enseignement, une révélation, un parler en langues, une interprétation de ce qui est dit en langues… Mais que tout soit constructif. ( )

14,27 Qu’on parle en langues, soit, mais pas plus de deux ou trois, et avec un temps limité, et qu’il y ait un interprète.


( )
14,28 Si personne n’est là pour interpréter, que ces gens se taisent dans l’assemblée et gardent leur parler en langues pour eux-mêmes et pour Dieu. ( ) 14,29 Pour les prophètes, deux ou trois peuvent parler, et les autres ensuite feront le discernement. ( ) 14,30 Si l’un de ceux qui sont restés assis reçoit une révélation, le premier se taira. ( ) 14,31 Vous pourriez tous prophétiser, mais l’un après l’autre, de sorte que tous apprennent et que tous soient motivés. ( ) 14,32 Les esprits de la prophétie obéissent aux prophètes, ( )



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