Evangile de Jean
18,9 Ainsi devait s’accomplir la parole que Jésus avait dite : “Je n’ai laissé perdre aucun de ceux que tu m’as donnés.” ( ) 18,10 Simon-Pierre avait une épée, il la tira pour frapper le serviteur du Grand Prêtre et lui coupa l’oreille droite. Ce serviteur s’appelait Malkus. ( ) 18,11 Alors Jésus dit à Pierre : “Remets l’épée au fourreau. Est-ce que je peux ne pas boire la coupe que mon Père m’a donnée ?” ( ) 18,12 Les soldats de la garnison et leur commandant, avec les policiers des Juifs, se saisirent alors de Jésus et le lièrent avec des cordes. ( ) 18,13 Ils le conduisirent d’abord chez Anne, le beau-père de Caïphe qui était Grand Prêtre cette année-là. ( )
18,14 Et c’était Caïphe qui avait donné aux Juifs cet argument : “Il vaut mieux qu’un homme meure à la place du peuple.”
( )
18,15 Simon-Pierre et un autre disciple suivaient Jésus. Comme ce disciple était connu du Grand Prêtre, il entra avec Jésus dans la cour du Grand Prêtre, ( Lc 22,55 , ) 18,16 et Pierre restait dehors à la porte. Mais l’autre disciple connu du Grand Prêtre, ressortit et dit un mot à la gardienne, et il fit entrer Pierre. ( ) 18,17 Alors cette jeune servante qui gardait la porte dit à Pierre : “Toi aussi tu es un des disciples de cet homme ?” Mais lui répondit : “Je n’en suis pas !” ( ) 18,18 Les serviteurs et les gardes étaient là. Ils avaient fait du feu pour se chauffer car il faisait froid, et Pierre était là à se chauffer avec eux. ( ) 18,19 Pendant ce temps le Grand Prêtre interrogeait Jésus sur ses disciples et sur son enseignement. ( )
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trouve dans 3 liturgie(s): Vendredi-1-Vendredi saint annee C, Vendredi-1-Vendredi saint annee B, Vendredi-1-Vendredi saint annee A,
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