Livre de Habaquq
2,10 c’est la honte que tu as amenée sur ta maison. Quand tu détruisais tant de peuples, tu attentais à ta propre vie. ( ) 2,11 Oui, la pierre crie dans ton mur, et de ta charpente le bois lui répond. ( ) 2,12 Malheur à celui qui bâtit une ville avec le sang, qui fonde une cité sur l’injustice. ( ) 2,13 Yahvé Sabaot l’a voulu ainsi : que les peuples se fatiguent pour de la fumée, que les nations s’épuisent pour du rien. ( ( ) 2,14 ) ( )

2,15 Malheur à qui fait boire à ses voisins le poison, jusqu’à l’enivrer, pour s’amuser ensuite de sa nudité.


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2,16 Tu seras rassasié maintenant, de honte et non de gloire ; bois donc à ton tour et sois pris d’ivresse ! La main de Yahvé retournera sur toi la coupe, et la honte couvrira ta gloire. ( ) 2,17 Oui, la violence que tu as faite au Liban avec ses bêtes massacrées retombera sur toi et tu connaîtras la terreur, à cause du sang des hommes et de la violence que tu as faite à la terre, à la cité et à tous ceux qui l’habitent. ( ) 2,18 À quoi sert une idole, pour qu’on en fabrique ainsi ? Image de métal fondu, objet menteur. Comment celui qui la fabrique peut-il mettre en elle sa confiance ? Ce ne sont que des idoles muettes. ( ) 2,19 Malheur à celui qui dit à un morceau de bois : “Éveille-toi”, et à la pierre silencieuse : “Réveille-toi”. Elle est plaquée d’or et d’argent mais elle n’aura pas de souffle. ( ) 2,20 Mais Yahvé habite dans son Temple saint : terre entière, fais silence devant lui !. ( )



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