Livre de Jérémie
17,8 Il est comme l’arbre planté au bord des eaux, qui allonge ses racines vers le ruisseau. Il ne craint pas lorsque vient la chaleur, son feuillage reste vert. Il ne craint pas les années sèches et porte toujours du fruit. ( ) 17,9 Plus que tout le cœur est complexe, il est mauvais : qui peut le comprendre ? ( ) 17,10 Moi, Yahvé, je sonde les cœurs, je mets à jour le fond du désir : je rends à chacun selon sa conduite, et je lui donne le fruit de ses actes. ( ) 17,11 Celui qui amasse des richesses injustes est comme la perdrix couvant l’œuf qu’elle n’a pas pondu ; au milieu de ses jours la richesse l’abandonne, et à la fin il n’est qu’un sot. ( ) 17,12 Notre Sanctuaire est un trône élevé, glorieux ; ( )

17,13 Yahvé, tu es l'espoir d'Israël, quiconque t'abandonne sera confondu. Ceux qui se rebellent contre toi disparaîtront du pays, car ils ont abandonné la source d'eau vive.


( )
17,14 Guéris-moi, Yahvé, que je sois guéri, sauve-moi, que je sois sauvé : c’est vers toi toujours qu’est allée ma louange. ( ) 17,15 Voici qu’on me dit : “Encore une parole de Yahvé ? Qu’elle se réalise donc !” ( ) 17,16 Mais je ne te presse pas de faire venir le mal, je n’ai pas désiré les jours mauvais, tu le sais, tout ce que j’ai pu dire est clair pour toi. ( ) 17,17 Ne me fais pas tomber dans l’épouvante, toi, mon refuge au jour du malheur. ( ) 17,18 Que ceux qui me persécutent soient confondus, et que moi, je ne sois pas confondu ! Qu'ils soient effrayés, et que moi je ne sois pas effrayé. Fais venir sur eux le jour du malheur, frappe-les, oui, frappe-les bien ! ( )



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