Livre d'Isaïe
40,17 Les nations sont comme rien devant lui, c’est un zéro, elles ne valent pas pour lui. ( ) 40,18 À qui voulez-vous comparer Dieu ? quelle image pourrez-vous en donner ? ( ) 40,19 une statue, peut-être, coulée par un artisan, que l’orfèvre a plaquée d’or, avec des chaînes d’argent ? ( ) 40,20 Ou bien le bois qu’on a choisi non périssable, travaillé par un expert, solidement fixé pour que rien ne l’ébranle ? ( ) 40,21 Ne l’avez-vous donc pas appris, entendu ? Ne vous l’a-t-on pas dit depuis le début pour que vous sachiez comment la terre fut mise en place ? ( )

40,22 Yahvé habite plus haut que la voûte sur la terre : de là ses habitants paraissent des sauterelles. Il a étendu les cieux comme un voile, il les a déroulés, et c’est la tente où il demeure.


( )
40,23 Il sait réduire à rien les puissants, anéantir ceux qui gouvernent le monde. ( ) 40,24 À peine sont-ils plantés, à peine sont-ils semés, à peine la tige a-t-elle pris racines, que lui, d’un souffle les dessèche, et le tourbillon comme pailles les emporte. ( ) 40,25 À qui voulez-vous me comparer ? dit le Saint. Quelqu’un est-il mon égal ? ( ) 40,26 Regardez au-dessus de vous : dites-moi qui les a créées ? Vous avez là son armée, il les a déployées, et toutes il les connaît par leur nom ; son autorité, sa force sont telles, que pas une n’échappe. ( ) 40,27 Pourquoi dis-tu, Jacob, pourquoi répètes-tu, Israël : “Yahvé ne voit pas, mon Dieu ne s’occupe pas de ma cause ?” ( )



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