Livre d'Isaïe
16,9 C’est pourquoi je prends part au deuil de Yazer, pour ses vignes de Sibma. Je verse sur vous mes larmes, Heshbon, Éléalé. Car on n’entend plus le chant du paysan ni sur ta récolte, ni sur ta moisson. ( ) 16,10 La joie et la fête ont disparu de tes vergers : plus un chant, plus une clameur dans tes vignes ! Nul déjà ne foule le raisin dans tes cuves, c’est fini de leurs cris joyeux. ( ) 16,11 Voilà pourquoi, pensant à Moab, je sens mes intérieurs vibrer comme une harpe et mon cœur en moi frémit pour Kir-Hérès. ( ) 16,12 Moab peut venir et s’agiter sur le haut-lieu, entrer dans son temple pour prier, cela ne changera rien. ( ) 16,13 C’est là la parole que Yahvé prononça jadis au sujet de Moab. ( )

16,14 Et maintenant Yahvé dit ceci : Encore trois années comptées comme celles d’un salarié, et toute la gloire de Moab, de ce peuple nombreux, sera par terre ; ce qui en restera sera peu de chose et de peu de valeur.


( )
17,1 Parole contre Damas : Voici Damas rayée de la liste des villes, elle n’est plus qu’un tas de ruines. ( ) 17,2 Désertées, les villes d’Aroër sont abandonnées aux troupeaux : ils s’y prélassent sans que nul ne les chasse. ( ) 17,3 Éphraïm va perdre son protecteur, car le royaume de Damas et ce qui reste d’Aram, connaîtront le même sort que les fils d’Israël — parole de Yahvé Sabaot. ( ) 17,4 La gloire de Jacob, ce jour-là, cessera de briller, son corps bien en point verra fondre sa graisse. ( ) 17,5 Comme on ramasse la récolte et le moissonneur charge les épis sur son bras, ou mieux : comme on glane les épis dans la vallée des Réphaïm. ( )



trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence: