Livre de Ben Sirac le Sage
37,31 Beaucoup de gens sont morts de leurs excès, alors qu’en se modérant ils auraient prolongé leur vie. ( ) 38,1 Aie pour le médecin toute l’estime qu’il mérite, à la mesure de ses services, car lui aussi le Seigneur l’a voulu. ( ) 38,2 La guérison, de fait, vient du Très-Haut, et c’est le Roi qui lui a octroyé le don de guérir. ( ) 38,3 Le savoir du médecin le fait marcher la tête haute, même les grands l’admirent. ( ) 38,4 Le Seigneur a créé les plantes médicinales qui sortent de la terre : un homme avisé ne les dédaigne pas. ( )
38,5 N’y a-t-il pas eu jadis un bois capable d’adoucir l’eau amère ? Et c’est ainsi que le Seigneur fit connaître sa puissance.
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38,6 Il donne à des humains le savoir afin de tirer gloire des merveilleux remèdes qu’il a créés. ( ) 38,7 Le médecin s’en sert pour soigner et calmer la douleur, le pharmacien en fait ses mélanges. ( ) 38,8 De cette façon les œuvres du Très-Haut ne sont pas terminées : le bien-être continue de se répandre sur la terre. ( ) 38,9 Mon enfant, quand tu es malade, ne te laisse pas abattre : prie le Seigneur pour qu’il te guérisse. ( ) 38,10 Renonce à ta conduite mauvaise, tâche d’avoir les mains nettes et purifie ton cœur de tout péché. ( )
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