Livre de Ben Sirac le Sage
34,21 Donner à Dieu un bien mal acquis, c’est une offrande souillée ; ( ) 34,22 les dons des méchants ne sauraient plaire à Dieu. ( ) 34,23 Le Très-Haut ne prend pas plaisir aux offrandes des impies ; ce n’est pas à force de sacrifices que leurs péchés seront pardonnés. ( ) 34,24 Offrir un sacrifice pris sur les biens des indigents, c’est mettre à mort un fils en l’honneur de son père. ( ) 34,25 Le pain qu’ils ont mendié est la vie des pauvres ; celui qui les en prive est un assassin. ( )

34,26 Il tue son prochain, celui qui lui enlève ses moyens de vivre ;


( )
34,27 retenir le salaire du salarié, c’est tout comme verser le sang. ( ) 34,28 L’un construit, l’autre abat ; qu’ont-ils gagné de plus que leur peine ? ( ) 34,29 L’un prie, l’autre maudit ; duquel le Maître écoutera-t-il la voix ? ( ) 34,30 Si l’on se baigne après avoir touché un mort, et qu’on le touche à nouveau, à quoi rimait la purification ? ( ) 34,31 C’est le cas de celui qui jeûne pour ses péchés puis s’en va les recommencer : qui écoutera sa prière ? À quoi lui a servi sa pénitence ? ( )



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