Livre de Ben Sirac le Sage
24,24 … ( ) 24,25 De cette Loi jaillissent les eaux de la sagesse, semblables à celles du Pichon, ou à celles du Tigre au temps des fruits nouveaux. ( ) 24,26 D’elle déborde le savoir comme une crue de l’Euphrate ou du Jourdain aux jours de la moisson, ( ) 24,27 d’elle s’échappent les eaux de l’instruction comme les flots du Nil, comme le Guihon aux jours de la vendange. ( ) 24,28 Le premier qui l’a trouvée n’en verra pas la fin, le dernier arrivé ne l’épuisera pas ; ( )

24,29 car ses pensées sont plus vastes que la mer et ses projets embrassent plus que le grand océan.


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24,30 Pour ma part je n’étais qu’un petit chenal du fleuve, le ruisseau qu’on dérive vers un jardin. ( ) 24,31 Mais j’ai pensé : “Je vais irriguer mon jardin, je veux arroser mes parterres.” Et voici que mon ruisseau est devenu un fleuve, et mon fleuve, une mer ! ( ) 24,32 Que ma doctrine brille comme l’aurore, et que s’étende au loin sa lumière ! ( ) 24,33 Que mes leçons se propagent comme paroles prophétiques : car je veux la laisser aux générations futures. ( ) 24,34 Voyez : je n’ai pas peiné pour moi seul, mais pour tous ceux qui cherchent la sagesse. ( )



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