Livre de Ben Sirac le Sage
6,15 Que ne donnerait-on pas pour un ami fidèle ? Considère qu’il n’a pas de prix ! ( ) 6,16 Un ami fidèle est comme un remède qui te sauve ; ceux qui craignent le Seigneur le trouveront. ( ) 6,17 Celui qui craint le Seigneur trouvera le véritable ami, car tel on est, tel sera aussi l'ami. ( ) 6,18 Mon enfant, consacre-toi à l’étude dès ta jeunesse, et jusqu’à tes cheveux blancs tu progresseras dans la sagesse. ( ) 6,19 Que ce soit un vrai travail, tout comme celui du laboureur ou du semeur ; cultive-la et attends ses fruits excellents. La cultiver te donnera des soucis, mais bientôt tu jouiras de ses fruits. ( )
6,20 La sagesse paraît aux ignorants une personne bien sévère ; celui qui ne pense à rien n’y persévère pas.
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6,21 Elle est pour lui une charge pesante, une épreuve difficile, et il a vite fait de la rejeter. ( ) 6,22 La sagesse défend sa réputation et ne veut pas se révéler au premier venu. ( ) 6,23 Aussi, mon enfant, reçois mes avis et ne rejette pas ce conseil : ( ) 6,24 mets ses entraves à tes pieds et place son joug sur ton cou ; ( ) 6,25 prends son fardeau sur ton épaule et porte son joug ; ne t’impatiente pas de ses chaînes. ( )
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