Cantique des Cantiques
6,5 Détourne de moi tes yeux, ils m’ont ensorcelé. Tes boucles sont un troupeau de chèvres qui s’accrochent aux pentes de Galaad ; ( ) 6,6 tes dents sont des brebis tondues qui remontent toutes blanches du lavoir ; chacune a sa jumelle, pas une ne l’a perdue. ( ) 6,7 Tes joues, sous ton voile, sont les moitiés d’un fruit vermeil. ( ) 6,8 Les reines sont soixante, les favorites quatre-vingts, les filles, innombrables : ( ) 6,9 unique est ma colombe, ma parfaite ! Elle est unique pour sa mère, la préférée de celle qui l’a enfantée. Les filles, en la voyant, l’ont dite bienheureuse, reines et favorites proclament ses louanges : ( )

6,10 “Qui est celle-ci dont l’aurore se lève, belle comme la lune, flamboyante comme soleil en son midi, redoutable comme une armée bien ordonnée ?”


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6,11 Au jardin des noyers je suis descendu, pour voir si cela pousse dans la vallée, pour voir si la vigne bourgeonne, si les grenadiers sont en fleur. ( ) 6,12 Et je ne sais, d’un coup, cela m’est venu : j’ai pris la tête des chars de mon peuple !. Le Chœur : ( ) 7,1 Retourne-toi, retourne-toi, Sulamite ! Retourne-toi, que nous te voyions ! LUI : Pourquoi regardez-vous la Sulamite, quand elle entre dans la danse avec les chœurs ? ( ) 7,2 Que tes pas sont gracieux, fille de prince, dans ces sandales ! L’arrondi de tes hanches ? C’est un collier œuvre d’une main experte. ( ) 7,3 Ton nombril ? C’est une coupe évasée, pleine de vin capiteux ; ton ventre, un monceau de blé, entouré de lys ; ( )



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