Livre de l'Ecclésiaste
10,7 J'ai vu des serviteurs qui étaient à cheval, et des nobles qui allaient à pied, comme des serviteurs. ( ) 10,8 On creuse un trou, on peut y tomber ; on démolit un mur et l’on se fait mordre par un serpent ; ( ) 10,9 on extrait des pierres, on peut s’y meurtrir ; on fend du bois, on risque de se blesser ; ( ) 10,10 si le fer est émoussé, il faudra frapper plus fort : en tout cela on gagne avec la sagesse. ( ) 10,11 Mais peut-être le serpent ne se laisse pas charmer, et il mord : du coup, le charmeur n’aura rien gagné. ( )

10,12 Les paroles du sage sont une grâce, mais les propos du sot le détruisent, lui le premier.


( )
10,13 Son point de départ est une bêtise, et la conclusion est dangereuse autant qu’absurde. ( ) 10,14 C’est la sottise qui lui inspire tant de paroles. (L’être humain ne connaît pas l’avenir : qui va lui dire ce qui viendra après lui ?) ( ) 10,15 Le sot est vite épuisé : il ne sait pas encore le chemin qui mène à la ville. ( ) 10,16 Malheur à toi, pays dont le roi est un gamin, et dont les chefs font la fête dès le matin ! ( ) 10,17 Heureux es-tu, pays dont le roi est un prince bien né, et dont les chefs mangent au temps voulu, pour prendre des forces et non pour s’enivrer. ( )



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