Livre de l'Ecclésiaste
3,9 Quel profit celui qui travaille trouve-t-il à la peine qu'il prend? ( ) 3,10 Je regarde la tâche que Dieu donne aux enfants des hommes: ( ) 3,11 tout ce qu'il fait convient en son temps. Il a mis dans leur coeur l'ensemble du temps, mais sans que l'homme puisse saisir ce que Dieu fait, du commencement à la fin. ( ) 3,12 Et je sais qu'il n'y a pas de bonheur pour l'homme, sinon dans le plaisir et le bien-être durant sa vie. ( ) 3,13 Et si un homme mange, boit et trouve le bonheur dans son travail, cela est un don de Dieu. ( )
3,14 Je sais que tout ce que Dieu fait sera pour toujours. A cela il n'y a rien à ajouter, de cela il n'y a rien à retrancher, et Dieu fait en sorte qu'on le craigne.
( )
3,15 Ce qui est fut déjà; ce qui sera est déjà. Or Dieu recherche le persécuté. ( ) 3,16 Je regarde encore sous le soleil: à la place du droit, là se trouve le crime, à la place du juste se trouve le criminel; ( ) 3,17 et je me dis en moi-même: le juste et le criminel, Dieu les jugera, car il y a un temps pour toutes choses et pour toute action ici. ( ) 3,18 Je me dis en moi-même, en ce qui concerne les enfants des hommes: c'est pour que Dieu les éprouve et leur montre qu'ils sont des bêtes. ( ) 3,19 Car le sort de l'homme et le sort de la bête sont un sort identique: comme meurt l'un, ainsi meurt l'autre, et c'est un même souffle qu'ils ont tous les deux. La supériorité de l'homme sur la bête est nulle, car tout est vanité. ( )
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