Livre des Proverbes
8,20 Je fais route sur un chemin de droiture, d’où partent en tout sens les sentiers de la justice ; ( ) 8,21 je vais, comblant de biens ceux qui m’aiment, et je fais pour eux le plein de leurs réserves. ( ) 8,22 Yahvé m’a créée, — ce fut le début de son œuvre — avant toutes ses créatures, depuis toujours. ( ) 8,23 Avant les siècles je fus formée, dès le commencement, bien avant la terre. ( ) 8,24 Les océans n’étaient pas là quand je suis née, pas une des fontaines d’où jaillissent les mers. ( )

8,25 Les montagnes n’étaient pas apparues, pas de collines encore quand je fus enfantée,


( )
8,26 Yahvé n’avait pas fait la terre et la campagne, ni même la poussière primitive du monde. ( ) 8,27 J’étais là quand il mit les cieux en place, quand il traça sur l’océan le cercle des terres, ( ) 8,28 quand il mit d’office les nuées dans les hauteurs et régla au fond des mers le débit de leurs eaux, ( ) 8,29 quand il imposa à la mer ses frontières, une limite que ne franchiraient pas les flots. Alors qu’il posait les fondements de la terre, ( ) 8,30 j’étais à ses côtés comme une enfant. J’étais, jour après jour, tout son plaisir, et sans cesse je jouais en sa présence. ( )



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trouve dans 1 liturgie(s): Dimanche-1-Sainte Trinité annee C,
trouve dans 2 document(s) de référence: , § La Trinité 01 consubstantialité des personnes divines § 24,