Psaumes de David
138,9 Ne pourrais-je emprunter les ailes de l’aurore et qu’elles me déposent au-delà des mers ? ( ) 138,10 Mais ce sera ta main qui m’y aura conduit, seule ta main droite peut ainsi m’emporter. ( ) 138,11 Dirai-je alors : “Que les ténèbres m’enveloppent, j’ai fait choix de la nuit comme lumière” ? ( ) 138,12 Mais les ténèbres mêmes ne te sont pas obscures, et la nuit n’est pas moins lumière que le jour. ( ) 138,13 C’est toi qui as créé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère. ( )

138,14 Je t’admire pour cet étonnant mystère ; prodigieuses sont tes œuvres, mon âme le sait.


( )
138,15 Mes os n’échappaient pas à ta vue, lorsque j’étais formé dans le secret, brodé dans les profondeurs de la terre. ( ) 138,16 Tes yeux voyaient la suite de mes jours, ils étaient tous écrits sur ton livre, formés avant que le premier n’apparût. ( ) 138,17 Ô Dieu, que tes pensées me dépassent ! Leur ensemble défie la raison ; ( ) 138,18 plus que le sable, leur nombre échappe à mes calculs, et je n’en finis pas d’être avec toi. ( ) 138,19 Ô Dieu, si tu voulais faire périr le méchant et tenir les violents loin de moi ! ( )



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