Psaumes de David
138,6 Ta science est pour moi un mystère, ce sont des hauteurs où je n’atteins pas. ( ) 138,7 Où irai-je que ton esprit n’y soit, où fuir de devant ta face ? ( ) 138,8 Si je monte au ciel, tu y es, si je vais au dortoir des morts, tu m’y retrouves. ( ) 138,9 Ne pourrais-je emprunter les ailes de l’aurore et qu’elles me déposent au-delà des mers ? ( ) 138,10 Mais ce sera ta main qui m’y aura conduit, seule ta main droite peut ainsi m’emporter. ( )

138,11 Dirai-je alors : “Que les ténèbres m’enveloppent, j’ai fait choix de la nuit comme lumière” ?


( )
138,12 Mais les ténèbres mêmes ne te sont pas obscures, et la nuit n’est pas moins lumière que le jour. ( ) 138,13 C’est toi qui as créé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère. ( ) 138,14 Je t’admire pour cet étonnant mystère ; prodigieuses sont tes œuvres, mon âme le sait. ( ) 138,15 Mes os n’échappaient pas à ta vue, lorsque j’étais formé dans le secret, brodé dans les profondeurs de la terre. ( ) 138,16 Tes yeux voyaient la suite de mes jours, ils étaient tous écrits sur ton livre, formés avant que le premier n’apparût. ( )



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