Psaumes de David
138,4 Les mots ne sont pas encore sur ma langue que déjà tu en connais le tout. ( ) 138,5 Tu fermes sur moi l’espace, derrière comme devant, et sur moi se pose ta main. ( ) 138,6 Ta science est pour moi un mystère, ce sont des hauteurs où je n’atteins pas. ( ) 138,7 Où irai-je que ton esprit n’y soit, où fuir de devant ta face ? ( ) 138,8 Si je monte au ciel, tu y es, si je vais au dortoir des morts, tu m’y retrouves. ( )

138,9 Ne pourrais-je emprunter les ailes de l’aurore et qu’elles me déposent au-delà des mers ?


( )
138,10 Mais ce sera ta main qui m’y aura conduit, seule ta main droite peut ainsi m’emporter. ( ) 138,11 Dirai-je alors : “Que les ténèbres m’enveloppent, j’ai fait choix de la nuit comme lumière” ? ( ) 138,12 Mais les ténèbres mêmes ne te sont pas obscures, et la nuit n’est pas moins lumière que le jour. ( ) 138,13 C’est toi qui as créé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère. ( ) 138,14 Je t’admire pour cet étonnant mystère ; prodigieuses sont tes œuvres, mon âme le sait. ( )



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