Psaumes de David
103,25 Voici la mer, grande, ouverte en tous sens, où fourmillent innombrables les êtres vivants petits et grands. ( ) 103,26 Les bateaux s’y risquent sans craindre Léviathan, le monstre que tu fis pour t’en amuser. ( ) 103,27 Tous attendent de toi que tu leur donnes la provende en son temps. ( ) 103,28 Tu la leur donnes, ils la recueillent, tu ouvres ta main, et les voilà rassasiés. ( ) 103,29 Tu caches ta face, ils ne sont plus ; tu leur reprends le souffle, ils expirent et retournent à leur poussière. ( )
103,30 Mais tu envoies ton souffle, ils sont créés, tu renouvelles la face de la terre.
( )
103,31 Que le Seigneur ait à jamais sa gloire, que le Seigneur jouisse de ses œuvres, ( ) 103,32 lui qui regarde la terre, et elle tremble, et s’il touche aux montagnes, elles jettent le feu. ( ) 103,33 Je veux toute ma vie chanter le Seigneur, le célébrer aussi longtemps que je serai. ( ) 103,34 Mon poème peut-être plaira à mon Seigneur : moi, de toute façon, je suis content de lui. ( ) 103,35 Que les pécheurs disparaissent de la terre, qu’on n’y voie plus de méchanceté ! Mais toi, ô mon âme, bénis le Seigneur ! ( )
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