Psaumes de David
67,8 Ô Dieu, tu es sorti précédant ton peuple sur les chemins du désert. ( ) 67,9 En ce temps la terre trembla, les cieux se défirent, à l’approche du Seigneur, le Dieu d’Israël. ( ) 67,10 Alors tu déversas une pluie de largesses, ô Dieu, pour raffermir ton peuple épuisé. ( ) 67,11 Les tiens trouvèrent une demeure que toi, toujours bon, tu destinais à l’indigent. ( ) 67,12 Puis le Seigneur met en branle les messagères : “Le Seigneur a dispersé une armée immense !” ( Ac 2,14 , )
67,13 Ils fuient ! Les rois des armées sont en fuite, et c’est une ménagère qui répartit le butin :
( )
67,14 des ailes de colombe revêtues d’argent, avec leurs plumes couleur d’or. ( Ex 1,12 , ) 67,15 Et comme le tout-Puissant mettait les rois en fuite, la neige tombait sur le Mont Sombre. ( ) 67,16 Quelle montagne altière, la montagne de Bashan, quels monts escarpés, les monts de Bashan ! ( ) 67,17 Mais vous voilà jaloux, monts escarpés, jaloux de la montagne où Dieu met sa demeure : sachez que le Seigneur y sera à jamais. ( ) 67,18 Dieu a ses chars, par dizaines de milliers, avec eux il est passé du Sinaï au sanctuaire. ( )
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