Psaumes de David
58,9 Mais toi, Seigneur, tu t’en amuses, tu te moques de tous ces païens. ( ) 58,10 Ô toi, ma force, je regarde vers toi, ma forteresse, c’est Dieu. ( ) 58,11 S’il vient à moi dans sa bonté, je verrai la perte de ceux qui m’attendent. ( ) 58,12 Ô Dieu, ordonne leur massacre, il ne faut pas que ton peuple oublie. Toi, si vaillant, chasse-les et tue. ( ) 58,13 Leurs paroles ont laissé dans leur bouche un péché, ils seront victimes de leur orgueil, des insultes et des mensonges qu’ils ont dits. ( )

58,14 Écrase-les dans ta fureur, écrase-les et qu’ils ne soient plus. Alors on saura que Dieu est maître en Jacob et jusqu’au bout du monde.


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58,15 Laissons-les revenir le soir, qu’ils aboient comme des chiens rôdant par la ville. ( ) 58,16 Qu’ils chassent pour manger et qu’ils grognent s’ils ne sont pas repus. ( ) 58,17 Mais moi je chanterai ta force, dès le matin je redirai tes bontés. Car tu t’es fait ma citadelle et mon refuge au jour de l’angoisse. ( ) 58,18 Ô toi, ma force, je veux te chanter ; Dieu, ma citadelle, n’est pour moi que bonté. ( ) 59,1 Au maître de chant. Sur l’air “le lys du témoignage…”. Poème de David pour l’enseignement. ( )



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